Chers amis lecteurs, je vous souhaite la bienvenue.
Ce blog a été créé dans le but de diffuser la Vérité et de
dénoncer sans pitié ce qui se trame dans le dos de tous depuis des milliers
d’années.
Si vous avez atterri sur cette page, ce n’est certainement
pas un hasard. Vous avez certainement entendu l’appel de votre vrai Père et
Dieu créateur Enki, celui qui nous a créé à son image, de sa chair et de son
sang, pas comme l’aurait fait un prétendu Dieu « Tout-Puissant » dans
cette foutue Genèse de mon derrière. Si vous voulez en savoir plus sur Enki, je
vous invite grandement à vous rendre sur le merveilleux site de Caroline
Bright : loveenki.com. Cela ne servirait à rien de raconter deux fois la
même chose, d’autant plus que vous pourrez découvrir ce merveilleux site et
vous faire conter l’histoire de l’Humanité d’une éclatante manière. Je précise toutefois que ce blog est totalement indépendant de Loveenki,
ce n'est pas ce que je pourrais appeler un "prolongement" et il va de
soi que je suis le seul à cautionner mes publications. Et tant que j'y
suis, je m'excuse de l'apparente similitude de couleurs entre Loveenki
et mon blog (notamment pour l'arrière-plan) mais je tenais vraiment à ce
que le fond soir noir. A partir de là, il n'y a pas 36 possibilités de
couleurs pour écrire si je voulais que ça reste lisible. Bref.
En
ce qui concerne le nom de mon blog, Nuit noire de l’Âme,
il renvoie à mon cheminement intérieur de ces dernières années. Je ferai
régulièrement
des références au site Loveenki car une énorme partie de mon savoir
spirituel
provient de là. Néanmoins je vous ferai part de mon expérience
personnelle et
des subtilités que je peux apporter par rapport à cet enseignement de
base. A
ce titre, je vous conseille vivement de parcourir l’ensemble de
Loveenki, c’est
vraiment fondamental. Et un autre conseil : n'envoyez pas un mail dès
que vous rencontrez une difficulté dans votre parcours. C’est aussi ça,
l’apprentissage enkiste : se prendre
en main soi-même, malgré les doutes. Ca m’a freiné tout un temps mais il
faut
apprendre à se faire confiance. Par exemple, un schéma récurrent est que
« je n’arrive pas à vibrer mes runes, je ne suis pas sûr de leur
prononciation exacte, et cetera ». Ne vous en faites pas, nos
merveilleux
Dieux ne vont pas vous faire vibrer n’importe comment ! Ils vont vous
guider progressivement vers tel ou tel impression. Dans les premiers
temps ils
fonctionnent par ressenti.
Mon histoire commence donc en avril (je ne préciserai pas l’année).
Cela faisait quelque temps déjà
que j’épluchais le web en essayant d’en apprendre
davantage sur les clefs de l’occulte (pouvoirs des miroirs, sortie astrale,
immortalité, pouvoirs psychiques…). Mon plus grand désir concernait la quête de
l’immortalité, je m’attarde quelque peu dessus, vous allez comprendre.
Une nuit décidément pas comme les autres, si j’ai bon
souvenir, je surfais sur Youtube lorsque je suis tombé sur une vidéo de
Caroline Bright sur l’immortalité, qui en expliquait les grandes lignes. Je me
suis rendu derechef, à la fin de la vidéo, sur le merveilleux site en
question : loveenki.com. C’est là que j’ai découvert la Vérité, avec un
grand V. La Vérité sur nos origines divines, sur ce qui se passe dans le monde.
Et le jour même ou le lendemain (je ne sais plus), je faisais mon engagement à
Enki. Ouahou, déflagration, coup de tonnerre, sonnez les trompettes ! Je
me souviens du sentiment incroyable que j’ai ressenti à ce moment-là, c’était
indescriptible, tout s’éclairait, c’était l’illumination ! « Mais
oui ! Bien sûr que oui ! »
A partir de ce moment, j’ai fréquenté avec assiduité le
site, je m’en imprégnais chaque jour un peu plus.
Ma compréhension de l’Enkisme fonctionnait alors de manière primaire (j’expliquerai
cette notion par la suite). Je me mettais à faire du yoga tous les jours
pendant une heure, des souffles tibétains, bref je me sentais investi d’une
énergie incroyable. Mes habitudes du quotidien changeaient, je devenais plus
« radical » dans le sens où je m’établissait un code moral enkiste.
Je mets évidemment ce mot entre guillemets, on n’est pas dans une secte ici.
Les vacances passent, la caravane aussi et me voilà dans ce
qui sera certainement une des pires années en tant qu'enkiste.
Tout allait bien jusque-là - néanmoins je ne faisais pas beaucoup de
méditations ni de rituels et j’avais fait l’erreur de commencer le Kundalini
yoga sans avoir ouvert mes chakras. Je pétais la forme pour ainsi dire, c’était vrai, mais
néanmoins je ne voyais rien venir ou presque. Bon.
C’est là que j’ai véritablement commencé à perdre pied, pour
finalement abandonner le Hatha Yoga en septembre de l’année scolaire suivante
(je calcule en années scolaires par commodité). Le début du calvaire.
A partir de ce moment-là, je ne pratiquais plus rien du
tout, j’entamais une longue descente aux enfers, en véritable Orphée de ma
propre Eurydice, mon moi intérieur qu’il me fallait ramener à la surface. J’ai
été amené à faire, pour l’image, une véritable expédition de spéléologie dans
mes tréfonds, j’ai exploré ma face la plus sombre. J’étais démotivé en
permanence, j’accumulais échecs sur échecs, tant au niveau professionnel que
spirituel – je me remettais au yoga, aux runes où à n’importe quoi et deux
semaines après c’était fini –, bref je me dévalorisait constamment grâce à ce
maudit connard d’Anu. De temps en temps je ressentais des pics de motivation
intense ; je vibrais par exemple 4 runes 108 fois, et cetera. Je faisais
beaucoup trop d’un coup, ce qui avait pour conséquence de tuer dans l’œuf tout
embryon de persévérance et donc de réussite. On ne voit pas le bout du tunnel
dans ces cas-là. J’en suis arrivé à manquer les fêtes de Yule, c’est pour dire.
Appartement constamment sens-dessus-dessous, envie de tout et de rien, plus
aucune organisation, alimentation catastrophique voire absente faute de vouloir
me faire à manger.
L’année se passe, enfin les vacances où je n’ai plus aucune
contrainte. Viens ensuite le mois de septembre. Premier constat non
négligeable : je maintiens mon lieu de vie dans un ordre irréprochable –
nous savons en effet que l’habitat revêt une importance considérable pour l’âme
–, ce qui aura pour effet de donner un coup de fouet à ce qu’on pourrait
appeler mon « génie organisateur ». Achat d’un agenda, système de
post-it, aide-mémoires, et cetera. Je deviens travailleur et ressens de goût du
travail. Bref, quelqu’un de nouveau. C’est à partir de ce moment-là que je
commence à fonctionner d’une manière que j’appelle secondaire. La longue
période de gestation de l’année précédente, « l’hiver intérieur », la
nuit noire de l’âme a permis de préparer un tissu de compréhensions
nouvelles. Je me connais désormais, je sais quelles sont mes faiblesses et
comment faire pour les combattre, les apprivoiser et les faire devenir une
force. J’ai découvert qui j’étais véritablement, à un second plan (plan
primaire : la découverte de mes origines divines et plan secondaire :
la découverte de mon moi intérieur).
Un élément majeur dans le rassemblement de mes forces
intérieures est liée à un déclencheur anodin. Au début de cette fameuse année,
j’ai commencé à écrire un livre (Fantasy et science-fiction), inspiré de mon
expérience intérieure et du monde merveilleux de nos Dieux d’Orion, dans le but
de diffuser la Vérité mais de manière cachée. Or il se trouve que le fait
d’écrire, de réfléchir, philosopher, imaginer m’a ouvert de nouvelles portes de
compréhensions. J’ai fait la synthèse de mon année hivernale et ai découvert ce
qui me permettrait d’avancer de nouveau sur le chemin de l’Enkisme.
Pendant la période juillet-août, j’avais visionné la trilogie des
films du Seigneur des Anneaux (en version originale, mon grand dada). Le
message que Tolkien a voulu faire passer et que Spielberg a bien rendu était la
phrase récurrente de Gandalf, apparenté à Odin : « Je vois l’avenir
se décider par les plus petites choses » ou quelque chose du genre. Pour
ceux qui connaissent l’histoire, les porteurs de l’anneau sont vus comme devant
être de grands guerriers n’ayant peur de rien, la bannière au vent, un peu
comme Boromir. Néanmoins, ce que Gandalf a compris, c’est que ce n’est pas en
étant un guerrier « extérieur » que l’on viendra à bout de l’anneau
mais « intérieur ». Frodon en est un parfait exemple. Comment un
petit Hobbit tout chétif parviendra-t-il à venir à bout de l’une des plus
grandes forces du mon du monde de Tolkien ? Gandalf – et donc l’auteur –
nous dit que c’est grâce à la pureté de cœur du protagoniste, à son courage
véritable. « J’ai semé l’espoir dans le cœur des Hommes ». Pour lui,
l’espoir, la « flamme d’Anor » si j’ai bien compris, est l’arme la
plus efficace contre Sauron, ze big boss. C’est d’ailleurs grâce à l’espoir que
Sam et Frodon gravissent les derniers mètres de la Montagne du Destin. Bon.
Pour ma part, il convient de faire une autre lecture de ce
chef-d’œuvre. Tolkien a effectivement raison quand il démontre que les plus
grandes choses sont commandées par les plus petites forces. C’est un peu comme
l’image de la maison et des briques. Imaginez un palais somptueux, fait de
milliers et de milliers de briques. L’attention de celui qui le regarde pour la
première fois se porte sur le Palais, non sur les briques (bon après, c’est
évidemment l’exception qui confirme la règle, il y a des pointillistes
partout). Or sans briques, pas de palais ! L’individu fait la communauté,
non l’inverse. Les petits principes, les plus subtils concepts peuvent changer
la face du monde. Car l’infiniment petit (le yin) se répète de manière
innombrable pour former l’infiniment grand (le yang). Du bas vers le haut. On
doit surveiller de près la fabrication des briques pour que le palais tienne
debout : argile de qualité, cuisson minutieuse à la minute près, ciment
adéquat. Bref, tout une multitude de petits paramètres à priori
insignifiants mais cruciaux. Le palais ne peut tenir debout que grâce à ces
principes. Le concept est tout. Il faut travailler le fond avant la forme,
s’occuper de soi avant les autres, bref, le nombre d’exemples réels est infini.
On a par trop l’habitude de se représenter le héros comme le
combattant n’ayant peur de rien, épée au poing, hurlant au combat pour
terrifier son adversaire. Or un autre héros est celui qui avance lentement,
mais sûrement. C’est un héros du quotidien, qui peut résister aux
pires tempêtes. Quand il a tout perdu, il lui reste cette petite étincelle magique
qui lui redonne un regain d’énergie et le fait continuer à avancer au milieu de
sa nuit noire de l’âme, qui le fait renaître de ses cendres encore une fois
quand tout semblait perdu. C’est la rune Nauthiz, que Caroline Bright décrit
comme « un phénix sans falbalas » ou quelque chose du genre. C’est
exactement cela. C’est la Vie réduite à ses principes fondamentaux,
l’essentiel de l’essentiel, la plus petite parcelle possible. C’est la toute
petite graine qui a survécu au Déluge et qui permet de repeupler la Terre.
C’est le compagnon de la rune-mère Hagalaz (qui représente la gestation, le
grêlon, ce qui est gelé, le potentiel latent qui est prêt à devenir concret),
qui, pour reprendre la très juste expression de Caroline, récupère le grêlon
encore enfant, l’élève et lui enseigne les principes de Vie, les bases des
bases.
Nauthiz, c’est le plus puissant compagnon dans la tempête,
c’est la lanterne si petite soit-elle qui reste allumée sur le pont malgré les
intempéries et qui évite au bateau de se fracasser sur les rochers. Les plus
grandes tempêtes sont intérieures.
Quand on s’apprête à traverser une tempête, on allume cette
lanterne, on l’entretien tous les jours. Même s’il n’y a pas de nuages à
l’horizon, on ne sait jamais.
Quand tout l’équipage est affairé sur le pont, braqué sur la tempête, en jetant
tout ce qui peut l’être par-dessus bord pour éviter de couler, c’est la
petitesse de la lanterne qui fait en sorte que, malgré tout, on continue à
l’entretenir. Ca ne prend pas longtemps, c’est très facile mais ça permet de
sauver une vie. C’est la seule chose que l’on garde quand on n’a plus rien pour
s’accrocher, quand tout espoir semble perdu. C’est ce qui m’a permis de
reprendre du poil de la bête et de me remettre au travail malgré tous ces chamboulements
internes. On recommence par une chose, tout petite et à priori anodine. Mais
les jours passent, puis les semaines, puis les mois, puis les années. Pour ma
part, ma « recette miracle » consiste à vibrer quotidiennement
Nauthiz 15 fois par jour. C’est le chiffre de la rune quand on commence à
compter depuis Othala et non Féhu. Ni trop, ni trop peu. Juste le minimum
minimorum. Tellement simple, et pourtant…
Quand on revient d’une dure journée de travail ou d’une
soirée entre amis ou de n’importe quoi, quand il est une heure du matin et
qu’on ne pense qu’à aller se coucher, on n’a pas spécialement de faire une
séance de méditation complète suivie d’un Kundalini yoga à faire brûler du
béton. Alors, on vibre Nauthiz, on fait au moins ça et après, on avise.
Il ne faut pas une concentration en acier prête à durer des heures pour le
faire. Mais on le fait, et le lendemain, et le surlendemain… On le fait une
fois, puis deux, puis dix, puis cent, puis mille, puis on ne s’arrête plus
jamais et on se rend compte qu’on est devenu beaucoup plus fort, qu’on peut se
permettre de rajouter une séance de Hatha yoga tous les jours sans exception en
plus de Nauthiz, puis une méditation, puis des souffles tibétains, et cetera.
On part toujours du bas vers le haut, du petit au grand, du yin vers le yang.
GLOIRE A NOS TOUT-PUISSANTS DIEUX D’ORION ET A NOTRE
MERVEILLEUX PERE ET DIEU CREATEUR ENKI !