samedi 22 novembre 2014

Bienvenue !


Chers amis lecteurs, je vous souhaite la bienvenue.
Ce blog a été créé dans le but de diffuser la Vérité et de dénoncer sans pitié ce qui se trame dans le dos de tous depuis des milliers d’années.

Si vous avez atterri sur cette page, ce n’est certainement pas un hasard. Vous avez certainement entendu l’appel de votre vrai Père et Dieu créateur Enki, celui qui nous a créé à son image, de sa chair et de son sang, pas comme l’aurait fait un prétendu Dieu « Tout-Puissant » dans cette foutue Genèse de mon derrière. Si vous voulez en savoir plus sur Enki, je vous invite grandement à vous rendre sur le merveilleux site de Caroline Bright : loveenki.com. Cela ne servirait à rien de raconter deux fois la même chose, d’autant plus que vous pourrez découvrir ce merveilleux site et vous faire conter l’histoire de l’Humanité d’une éclatante manière. Je précise toutefois que ce blog est totalement indépendant de Loveenki, ce n'est pas ce que je pourrais appeler un "prolongement" et il va de soi que je suis le seul à cautionner mes publications. Et tant que j'y suis, je m'excuse de l'apparente similitude de couleurs entre Loveenki et mon blog (notamment pour l'arrière-plan) mais je tenais vraiment à ce que le fond soir noir. A partir de là, il n'y a pas 36 possibilités de couleurs pour écrire si je voulais que ça reste lisible. Bref.

En ce qui concerne le nom de mon blog, Nuit noire de l’Âme, il renvoie à mon cheminement intérieur de ces dernières années. Je ferai régulièrement des références au site Loveenki car une énorme partie de mon savoir spirituel provient de là. Néanmoins je vous ferai part de mon expérience personnelle et des subtilités que je peux apporter par rapport à cet enseignement de base. A ce titre, je vous conseille vivement de parcourir l’ensemble de Loveenki, c’est vraiment fondamental. Et un autre conseil : n'envoyez pas un mail dès que vous rencontrez une difficulté dans votre parcours. C’est aussi ça, l’apprentissage enkiste : se prendre en main soi-même, malgré les doutes. Ca m’a freiné tout un temps mais il faut apprendre à se faire confiance. Par exemple, un schéma récurrent est que « je n’arrive pas à vibrer mes runes, je ne suis pas sûr de leur prononciation exacte, et cetera ». Ne vous en faites pas, nos merveilleux Dieux ne vont pas vous faire vibrer n’importe comment ! Ils vont vous guider progressivement vers tel ou tel impression. Dans les premiers temps ils fonctionnent par ressenti.

Mon histoire commence donc en avril (je ne préciserai pas l’année). Cela faisait quelque temps déjà que j’épluchais le web en essayant d’en apprendre davantage sur les clefs de l’occulte (pouvoirs des miroirs, sortie astrale, immortalité, pouvoirs psychiques…). Mon plus grand désir concernait la quête de l’immortalité, je m’attarde quelque peu dessus, vous allez comprendre.

Une nuit décidément pas comme les autres, si j’ai bon souvenir, je surfais sur Youtube lorsque je suis tombé sur une vidéo de Caroline Bright sur l’immortalité, qui en expliquait les grandes lignes. Je me suis rendu derechef, à la fin de la vidéo, sur le merveilleux site en question : loveenki.com. C’est là que j’ai découvert la Vérité, avec un grand V. La Vérité sur nos origines divines, sur ce qui se passe dans le monde. Et le jour même ou le lendemain (je ne sais plus), je faisais mon engagement à Enki. Ouahou, déflagration, coup de tonnerre, sonnez les trompettes ! Je me souviens du sentiment incroyable que j’ai ressenti à ce moment-là, c’était indescriptible, tout s’éclairait, c’était l’illumination ! « Mais oui ! Bien sûr que oui ! »

A partir de ce moment, j’ai fréquenté avec assiduité le site, je m’en imprégnais chaque jour un peu plus. Ma compréhension de l’Enkisme fonctionnait alors de manière primaire (j’expliquerai cette notion par la suite). Je me mettais à faire du yoga tous les jours pendant une heure, des souffles tibétains, bref je me sentais investi d’une énergie incroyable. Mes habitudes du quotidien changeaient, je devenais plus « radical » dans le sens où je m’établissait un code moral enkiste. Je mets évidemment ce mot entre guillemets, on n’est pas dans une secte ici.
 
Les vacances passent, la caravane aussi et me voilà dans ce qui sera certainement une des pires années en tant qu'enkiste.

Tout allait bien jusque-là - néanmoins je ne faisais pas beaucoup de méditations ni de rituels et j’avais fait l’erreur de commencer le Kundalini yoga sans avoir ouvert mes chakras. Je pétais la forme pour ainsi dire, c’était vrai, mais néanmoins je ne voyais rien venir ou presque. Bon.
C’est là que j’ai véritablement commencé à perdre pied, pour finalement abandonner le Hatha Yoga en septembre de l’année scolaire suivante (je calcule en années scolaires par commodité). Le début du calvaire.

A partir de ce moment-là, je ne pratiquais plus rien du tout, j’entamais une longue descente aux enfers, en véritable Orphée de ma propre Eurydice, mon moi intérieur qu’il me fallait ramener à la surface. J’ai été amené à faire, pour l’image, une véritable expédition de spéléologie dans mes tréfonds, j’ai exploré ma face la plus sombre. J’étais démotivé en permanence, j’accumulais échecs sur échecs, tant au niveau professionnel que spirituel – je me remettais au yoga, aux runes où à n’importe quoi et deux semaines après c’était fini –, bref je me dévalorisait constamment grâce à ce maudit connard d’Anu. De temps en temps je ressentais des pics de motivation intense ; je vibrais par exemple 4 runes 108 fois, et cetera. Je faisais beaucoup trop d’un coup, ce qui avait pour conséquence de tuer dans l’œuf tout embryon de persévérance et donc de réussite. On ne voit pas le bout du tunnel dans ces cas-là. J’en suis arrivé à manquer les fêtes de Yule, c’est pour dire. Appartement constamment sens-dessus-dessous, envie de tout et de rien, plus aucune organisation, alimentation catastrophique voire absente faute de vouloir me faire à manger.

L’année se passe, enfin les vacances où je n’ai plus aucune contrainte. Viens ensuite le mois de septembre. Premier constat non négligeable : je maintiens mon lieu de vie dans un ordre irréprochable – nous savons en effet que l’habitat revêt une importance considérable pour l’âme –, ce qui aura pour effet de donner un coup de fouet à ce qu’on pourrait appeler mon « génie organisateur ». Achat d’un agenda, système de post-it, aide-mémoires, et cetera. Je deviens travailleur et ressens de goût du travail. Bref, quelqu’un de nouveau. C’est à partir de ce moment-là que je commence à fonctionner d’une manière que j’appelle secondaire. La longue période de gestation de l’année précédente, « l’hiver intérieur », la nuit noire de l’âme a permis de préparer un tissu de compréhensions nouvelles. Je me connais désormais, je sais quelles sont mes faiblesses et comment faire pour les combattre, les apprivoiser et les faire devenir une force. J’ai découvert qui j’étais véritablement, à un second plan (plan primaire : la découverte de mes origines divines et plan secondaire : la découverte de mon moi intérieur).

Un élément majeur dans le rassemblement de mes forces intérieures est liée à un déclencheur anodin. Au début de cette fameuse année, j’ai commencé à écrire un livre (Fantasy et science-fiction), inspiré de mon expérience intérieure et du monde merveilleux de nos Dieux d’Orion, dans le but de diffuser la Vérité mais de manière cachée. Or il se trouve que le fait d’écrire, de réfléchir, philosopher, imaginer m’a ouvert de nouvelles portes de compréhensions. J’ai fait la synthèse de mon année hivernale et ai découvert ce qui me permettrait d’avancer de nouveau sur le chemin de l’Enkisme.

Pendant la période juillet-août, j’avais visionné la trilogie des films du Seigneur des Anneaux (en version originale, mon grand dada). Le message que Tolkien a voulu faire passer et que Spielberg a bien rendu était la phrase récurrente de Gandalf, apparenté à Odin : « Je vois l’avenir se décider par les plus petites choses » ou quelque chose du genre. Pour ceux qui connaissent l’histoire, les porteurs de l’anneau sont vus comme devant être de grands guerriers n’ayant peur de rien, la bannière au vent, un peu comme Boromir. Néanmoins, ce que Gandalf a compris, c’est que ce n’est pas en étant un guerrier « extérieur » que l’on viendra à bout de l’anneau mais « intérieur ». Frodon en est un parfait exemple. Comment un petit Hobbit tout chétif parviendra-t-il à venir à bout de l’une des plus grandes forces du mon du monde de Tolkien ? Gandalf – et donc l’auteur – nous dit que c’est grâce à la pureté de cœur du protagoniste, à son courage véritable. « J’ai semé l’espoir dans le cœur des Hommes ». Pour lui, l’espoir, la « flamme d’Anor » si j’ai bien compris, est l’arme la plus efficace contre Sauron, ze big boss. C’est d’ailleurs grâce à l’espoir que Sam et Frodon gravissent les derniers mètres de la Montagne du Destin. Bon.

Pour ma part, il convient de faire une autre lecture de ce chef-d’œuvre. Tolkien a effectivement raison quand il démontre que les plus grandes choses sont commandées par les plus petites forces. C’est un peu comme l’image de la maison et des briques. Imaginez un palais somptueux, fait de milliers et de milliers de briques. L’attention de celui qui le regarde pour la première fois se porte sur le Palais, non sur les briques (bon après, c’est évidemment l’exception qui confirme la règle, il y a des pointillistes partout). Or sans briques, pas de palais ! L’individu fait la communauté, non l’inverse. Les petits principes, les plus subtils concepts peuvent changer la face du monde. Car l’infiniment petit (le yin) se répète de manière innombrable pour former l’infiniment grand (le yang). Du bas vers le haut. On doit surveiller de près la fabrication des briques pour que le palais tienne debout : argile de qualité, cuisson minutieuse à la minute près, ciment adéquat. Bref, tout une multitude de petits paramètres à priori insignifiants mais cruciaux. Le palais ne peut tenir debout que grâce à ces principes. Le concept est tout. Il faut travailler le fond avant la forme, s’occuper de soi avant les autres, bref, le nombre d’exemples réels est infini.

On a par trop l’habitude de se représenter le héros comme le combattant n’ayant peur de rien, épée au poing, hurlant au combat pour terrifier son adversaire. Or un autre héros est celui qui avance lentement, mais sûrement. C’est un héros du quotidien, qui peut résister aux pires tempêtes. Quand il a tout perdu, il lui reste cette petite étincelle magique qui lui redonne un regain d’énergie et le fait continuer à avancer au milieu de sa nuit noire de l’âme, qui le fait renaître de ses cendres encore une fois quand tout semblait perdu. C’est la rune Nauthiz, que Caroline Bright décrit comme « un phénix sans falbalas » ou quelque chose du genre. C’est exactement cela. C’est la Vie réduite à ses principes fondamentaux, l’essentiel de l’essentiel, la plus petite parcelle possible. C’est la toute petite graine qui a survécu au Déluge et qui permet de repeupler la Terre. C’est le compagnon de la rune-mère Hagalaz (qui représente la gestation, le grêlon, ce qui est gelé, le potentiel latent qui est prêt à devenir concret), qui, pour reprendre la très juste expression de Caroline, récupère le grêlon encore enfant, l’élève et lui enseigne les principes de Vie, les bases des bases.

Nauthiz, c’est le plus puissant compagnon dans la tempête, c’est la lanterne si petite soit-elle qui reste allumée sur le pont malgré les intempéries et qui évite au bateau de se fracasser sur les rochers. Les plus grandes tempêtes sont intérieures.

Quand on s’apprête à traverser une tempête, on allume cette lanterne, on l’entretien tous les jours. Même s’il n’y a pas de nuages à l’horizon, on ne sait jamais. Quand tout l’équipage est affairé sur le pont, braqué sur la tempête, en jetant tout ce qui peut l’être par-dessus bord pour éviter de couler, c’est la petitesse de la lanterne qui fait en sorte que, malgré tout, on continue à l’entretenir. Ca ne prend pas longtemps, c’est très facile mais ça permet de sauver une vie. C’est la seule chose que l’on garde quand on n’a plus rien pour s’accrocher, quand tout espoir semble perdu. C’est ce qui m’a permis de reprendre du poil de la bête et de me remettre au travail malgré tous ces chamboulements internes. On recommence par une chose, tout petite et à priori anodine. Mais les jours passent, puis les semaines, puis les mois, puis les années. Pour ma part, ma « recette miracle » consiste à vibrer quotidiennement Nauthiz 15 fois par jour. C’est le chiffre de la rune quand on commence à compter depuis Othala et non Féhu. Ni trop, ni trop peu. Juste le minimum minimorum. Tellement simple, et pourtant…

Quand on revient d’une dure journée de travail ou d’une soirée entre amis ou de n’importe quoi, quand il est une heure du matin et qu’on ne pense qu’à aller se coucher, on n’a pas spécialement de faire une séance de méditation complète suivie d’un Kundalini yoga à faire brûler du béton. Alors, on vibre Nauthiz, on fait au moins ça et après, on avise. Il ne faut pas une concentration en acier prête à durer des heures pour le faire. Mais on le fait, et le lendemain, et le surlendemain… On le fait une fois, puis deux, puis dix, puis cent, puis mille, puis on ne s’arrête plus jamais et on se rend compte qu’on est devenu beaucoup plus fort, qu’on peut se permettre de rajouter une séance de Hatha yoga tous les jours sans exception en plus de Nauthiz, puis une méditation, puis des souffles tibétains, et cetera. On part toujours du bas vers le haut, du petit au grand, du yin vers le yang.

GLOIRE A NOS TOUT-PUISSANTS DIEUX D’ORION ET A NOTRE MERVEILLEUX PERE ET DIEU CREATEUR ENKI !

2 commentaires:

  1. Bonjour/bonsoir, comment vivre tu le h? C'est curieux mais on m'a dit d'écrire un livre comme toi et j'ai des souci de motivation.

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